Un monde d’ivoire et de basalte où nous croisons un visage, une silhouette qui nous ressemble, qui nous raconte notre égarement. Un paysage trop vide ou trop dense, déjà effacé ou à peine esquissé, qui nous place au bord de l’inquiétude ou nous jette dans l’exaltation, qui nous regarde dans les yeux pour nous demander. Toutes les questions du monde : “Humanites”.

Michaël Serfaty